Elles regroupent les pertes par hystérésis et par courant de Foucault dans les masses métalliques du rotor.
Ces pertes dépendent de la fréquence des courants rotoriques :
La fréquence `f_"r"` des courants rotoriques est reliée à celle des courants statoriques par `f_"r" = gf` avec `g` le glissement. Le glissement étant généralement faible, la fréquence des courants rotoriques l'est aussi et il en est de même pour les pertes dans le fer au rotor.
Ces pertes sont généralement négligées.